L'évolution des comportements liée au Covid19
- 29 mars 2020
- 1 min de lecture

Lors de la pandémie du Covid 19 début 2020, l’évolution des comportements des personnes a changé au fil du temps. L’inconnue de la situation a généré des peurs activant notre cerveau reptilien (Peur, Fuite, Inhibition ), puis le cerveau Libyque à pris le relais donnant des émotions plus ou moins fortes et enfin notre Néocortex a repris les chose en main, permettant d’inhiber les actions excessives du cerveau reptilien et les émotions trop intenses du cerveau Limbique. En comprenant les différents comportements du cerveau face à une situation anxiogène et inconnue, nous comprenons mieux nos réactions émotionnelles et mieux comprendre nos actes.
Il nous faut tendre vers l'évolution...
Ou pensez-vous en être ?

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J'ai trouvé votre analyse sur la difficulté de distinguer la confiance saine d'autres traits de personnalité plus complexes particulièrement pertinente. C'est une distinction cruciale, non seulement pour le développement personnel, mais aussi pour naviguer efficacement dans les relations interpersonnelles. Souvent, la ligne est plus floue qu'il n'y paraît. Cela soulève la question de savoir comment on peut concrètement mieux comprendre et identifier ces dynamiques, surtout lorsqu'elles touchent à des aspects comme le narcissisme. Pour ceux qui cherchent à approfondir cette compréhension et à évaluer ces tendances, un test de narcissisme peut offrir des éclaircissements précieux.
L'idée que la conscience de soi est un facteur déterminant dans la manifestation des traits psychopathiques est particulièrement pertinente. Cela soulève la question de savoir si une évaluation objective de ces traits est même possible sans une certaine introspection. Pour ceux qui cherchent à mieux comprendre ces dynamiques, explorer des outils d'auto-évaluation peut offrir des perspectives intéressantes sur les comportements et les schémas de pensée, permettant ainsi une analyse plus approfondie de la psychopathie et des tests associés.
J'ai trouvé particulièrement pertinent votre point sur la manière dont la compréhension des motivations sous-jacentes peut influencer le succès d'un projet. C'est une observation qui résonne avec mon expérience, car j'ai constaté que souvent, le manque d'alignement sur ces motivations profondes est une cause majeure d'échec, même avec une bonne planification. Cela soulève la question de savoir comment évaluer et aligner ces éléments dès le départ. Pour ceux qui s'intéressent à explorer ces dynamiques plus en profondeur, il existe des ressources intéressantes pour mieux comprendre les différents types de tempéraments et leurs impacts.
L'idée de segmenter le parcours client en phases distinctes, comme vous le décrivez, est particulièrement pertinente. Cela permet une approche plus ciblée et, par conséquent, plus efficace. J'ai constaté que l'application de cette granularité aide grandement à identifier les points de friction précis. D'ailleurs, pour ceux qui cherchent à affiner leur compréhension des différentes étapes et à optimiser chaque interaction, explorer les ressources sur l'analyse et l'optimisation des parcours clients peut offrir des perspectives précieuses.
L'accent mis sur l'importance de la détection précoce des signes de dépression chez les personnes âgées est particulièrement pertinent. Cela soulève la question des outils pratiques disponibles pour les professionnels de santé et les aidants. Pour ceux qui cherchent à évaluer plus précisément ces symptômes, il existe des ressources dédiées. Il est essentiel de disposer de moyens fiables pour identifier la dépression gériatrique, permettant ainsi une intervention plus rapide et adaptée. À ce titre, consulter une échelle d'évaluation validée peut s'avérer très utile. Vous trouverez des informations détaillées sur la GDS échelle dépression personnes âgées qui propose une approche structurée pour ce diagnostic.